Les étudiant·e·s :
Promotion Caribou 2021-2023 (→les étudiant·e·s)
De retour
Texte et illustration à mettre
Promotion des Reconfiné.es 2020-2022 (→les étudiant·e·s)
Reconfiné deux fois, toujours debout
Texte et illustration à mettre
Promotion des Méduses 2019-2021 (→les étudiant•e•s)
Les méduses
Texte et illustration à mettre
Promotion de L’attente 2018-2020 (→les étudiant•e•s)
Les fosseyeuses de la littérature
texte et illustration à mettre
Promotion de Louverture 2017-2019 (→les étudiant•e•s)
L'année d'ouverture
C’est la dernière année dans la mention du Master Littératures. Une nouvelle offre de formation, qui démarre en septembre 2018, nous a donné la chance de nous approche de l’image, sous-entendue depuis le début. La nouvelle mention s’appellera donc Littératures et cultures de l’image, bien que déjà existante sans nous changera avec notre entrée en matière. En parallèle, nous sommes toujours en recherche, dans une mise à l’épreuve permanente des projets développés au fils des années, pour avancer dans la structuration donnée par les deux points forts de la vie culturelle à l’UFR lettres et langues, les Avant-Bruits en octobre et les Bruits de langues en février. Il y a une nouvelle équipe de graphistes et les sites communs seront enfin refondés sous une nouvelle mouture et répartition.
Promotion de l’Ogre 2016-2018/19 (→les étudiant•e•s) :
L'année dévorante
En avançant, il y a des fondations qui semblent stables ou justement permettent d’avancer, car elles sont l’appui et la mémoire de la formation. En même temps, nous sommes toujours en recherche, dans une mise à l’épreuve permanente des projets développés au fils des années. Cette année, qui reprend la structuration donnée par les deux points forts de la vie culturelle à l’UFR lettres et langues, les Avant-Bruits en octobre et les Bruits de langues en février, ajoute une autre rencontre d’envergure, entre le colloque universitaire et l’exploration de la spécificité d’une maison d’éditions : Verticales.
Promotion Rosenthal 2015-2017 (→les étudiant•e•s) :
L'année de croisière
On pourrait dire qu’au bout de quatre ans le master a trouvé sa forme définitive.
Mais c’est sans compter avec les nouveaux étudiants, qui chaque année prennent une part active dans le développement, mais aussi sans compter une nouvelle manière d’enseigner à inventer.
Et un projet qui murit lentement, les 20 ans des éditions Verticales, suivies de l’envie de fêter cela.
Promotion Massera 2014-2016/17 : (→les étudiant•e•s)
L'année de consolidation
Cette promotion devait confirmer l’implantation du master, mais nous a répondu par un repli, un peu moins de monde que prévu. Mais la répartition et la diversité des profiles se sont confirmées, toujours quelques étudiants venant du parcours Livres, médias et écriture, et le gros de partout en France. C’est aussi l’année où l’équipe des intervenants s’est stabilisée. Nous pouvons désormais compter sur des collègues réguliers qui ont envie de travailler ensemble.
Promotion Oulipo 2013-2015/16 (→les étudiant•e•s):
L'année de tous les dangers
Nous savions dès le début que ce master ne pouvait survivre que si nous augmentions considérablement les effectifs. C’est pourquoi l’année 2012, l’année de démarrage fut aussi une année de promotion de la formation et le pari a été gagné car à la rentrée de 2013/14, nous avions une vingtaine d’étudiants, venant de partout en France pour tenter notre formation, tout en pouvant garder un lien avec le parcours Livre, médias et écriture, à l’origine du master.
Promotion pilote 2012-2014/15 :
Une promotion entièrement poitevine pour démarrer
Le Master Pro LiMés a démarré en 2012 avec un groupe issu du parcours Livre, médias et écriture, proposé en troisième année de licence de Lettres moderne. Ce fut donc une toute petite équipe avec laquelle nous avons fait nos classes : Julie Bernard, qui a soutenu son mémoire de Master 2 en 2014 sous le titre La logique de survie chez les petits éditeurs indépendants : quelle compatibilité entre domaine symbolique et réalité économique ? et qui travaille désormais à la Médiathèque de Poitiers. Marie Bobin, qui a soutenu son mémoire de Master 2 en 2015 sous le titre Contexte et réception de la prescription littéraire à l’Université et qui travaille désormais comme secrétaire éditoriale. Marine Guitton, qui a soutenu son mémoire de Master 2 en 2014 sous le titre Diffuser la lecture numérique en médiathèques : Enjeux d’une médiation, et qui est désormais adjointe du patrimoine dans le réseau des médiatheques de la CAN. Solenne Lagedamont, qui a soutenu son mémoire de Master 2 en 2015 sous le titre Médiation culturelle en médiathèque. Approche de la médiation culturelle au mon stage à l’Artothèque François Mitterrand de Poitiers. Amaëlle Morinière, qui a soutenu son mémoire de Master 2 en 2014 sous le titre Stratégies et médiations pour promouvoir la lecture. Clara-Belle Ratet a terminé son Master 1 en travaillant sur des Bandes dessinées numériques, mais n’a pas souhaité poursuivre l’aventure, Amélie Zilberman s’est réorientée en cours du Master 1. Pendant cette première année, nous n’avons pas seulement testé les potentialités de la formation et constitué une première équipe pédagogique avec de nombreux intervenants extérieurs et professionnels du domaine, mais aussi renforcé nos liens avec les partenaires nationaux et internationaux, et non seulement parce qu’il fallait trouver des lieux pour le stage long prévu en semestre 3. Ainsi Marie Bobin et Solenne Lagedamont ont pu partir au NT2 de l’Université du Québec à Montréal (UQAM). Julie Bernard a trouvé les moyens pour travailler avec un panel de son choix d »éditeurs indépendants et elle travaille aujourd’hui à la Médiathèque François Mitterrand de Poitiers, Marine Guitton a travaillé dans des médiathèques de la région pour tester des dispositifs de prêts numériques et Amaëlle Morinière au centre du Livre et de la lecture en Poitou-Charentes (CLL) pour expérimenter la promotion de la lecture visant des publics divers, elle travaille actuellement comme libraire.