Patrick Née: notice détaillée

1. Livres :

a. Parus :

[1] Lire Nadja de Breton, Bordas-Dunod, coll. « Lire », 1993, 182 p. De l’intérieur du cadre contraint d’une collection (« L’œuvre et l’auteur », « Les grands moments », « Enjeux et échos »), l’ouvrage s’attache à réinscrire Nadja dans la continuité de l’œuvre de son auteur : tout d’abord depuis Les Champs magnétiques, puis à l’ouverture de la trilogie des grandes proses poétiques qui suivront (jusqu’à Arcane 17) – selon tout un jeu de reprises internes unificatrices. Après avoir ensuite rendu compte de la triple articulation du récit (prologue, journal de bord, épilogue), ce petit livre dégage pour finir les déterminations génériques de Nadja et, d’un point de vue thématique, en tire sept fils organisateurs (sur la problématique du Moi, la phénoménologie du regard, le monde comme un théâtre, le « démon de l’analogie », etc.) qui font surgir autant de principes de cohérence plus ou moins inattendus.

[2] Poétique du lieu dans l’œuvre d’Yves Bonnefoy ou Moïse sauvé, P.U.F., coll. « Littératures modernes », 1999, 309 p. Ouverture de mon travail d’interprétation fondamentale du poète-penseur, d’abord ressaisie du point de vue du battement entre l’attirance pour l’Ailleurs et la lutte engagée contre elle de manière consciente dès L’Arrière-pays. Le « lieu » y est à entendre non comme un thème parmi d’autres, mais comme le point de convergence d’une poétique du langage (comme « terre seconde »), d’une ontologie (contre-platonicienne, « plotinienne » mais sans surnature) et d’une métapsychologie. L’essai cerne plusieurs des notions-clés de la pensée de l’auteur : « lieu » contre « espace », carrefour, décentrement du centre, spirale, et met en évidence la dynamique de l’œuvre à travers celle de deux grands mythes organisateurs – celui d’une Rome centrale, celui d’une Égypte « insituable » – dont le second se substitue au premier : permettant que soient évitées les nostalgies « œdipiennes » de l’origine, puisque Moïse peut être partout sauvé dans l’Ici du lieu à vivre ; ce qui enclenche l’enquête, pour finir, sur la nature auto-analytique de la créativité de l’auteur.

[3] Rhétorique profonde d’Yves Bonnefoy, Hermann, 2004, 183 p. Sur fond des grandes théories romantiques et contemporaines du signe, l’ouvrage s’attache à la métapoétique d’Yves Bonnefoy comme au fondement même et de sa pratique, et de sa théorie. Dès l’étude sur Le signe et la signification (1958), entreprise sous les auspices de Jean Wahl, sont posés les premiers jalons d’une critique du signe. S’il y a chance que de la « présence » se manifeste dans l’« image » du langage, c’est à deux conditions : qu’on reconnaisse la validité du symbole (dans le cas contraire, et c’est à quoi s’emploie Paul de Man, il ne peut plus être question que de la déconstruction de toute présence) ; mais qu’on n’oublie pas le critère de non-immédiateté qui lui fait contrepoids. D’où la promotion du symbole critique qui échappe aux illusions du romantisme : l’image n’est qu’une médiation, non le hiéroglyphe d’une réalité absolue. Aussi le modèle de la tension théorisé par Paul Ricœur convient-il parfaitement à cette conception du symbole – laquelle passe par une triple critique. Critique de la métaphore d’abord, puis critique de l’allégorie comme métaphore continuée, accusées d’en rester au seul espace des jeux de langage; critique, enfin, de la synecdoque, figure d’une participation directe, par inclusion, qui ferait romantiquement prendre toute fleur de rhétorique pour un échantillon prélevé sur l’absolu hors-langage. Reste, figure-reine, la seule métonymie, médiatrice par excellence, capable de faire signe, depuis l’espace du langage, vers le monde de la référence : comme une sorte d’index de la présence.

[4] Yves Bonnefoy, Paris, ADPF/Ministère des Affaires étrangères, 2005, 127 p. Synthèse destinée à un large public, qui en dix chapitres passe en revue les rapports au biographique, à la formation intellectuelle, à l’opposition vers/prose (et l’invention d’un nouveau genre, le « récit en rêve »), à la notion cardinale de « présence », à l’herméneutique des images, à la question de la traduction ; mettant en évidence la nécessité absolue, aux yeux de l’auteur, du passage du « stade esthétique » au « stade éthique ». Ce petit essai s’achève sur une « chronologie » très complète revue par l’auteur.

[5] Yves Bonnefoy penseur de l’image, ou les Travaux de Zeuxis, Gallimard, 2006, 433p.
Cœur de mes travaux sur Yves Bonnefoy, confirmant ma Poétique du lieu […] ou Moïse sauvé des PUF, avec l’émergence (après celui de Moïse ayant trait à l’incarnation dans l’Ici du lieu, opposée au vertige de l’Ailleurs) de l’autre grand mythe organisateur, plus récent, de Zeuxis : ayant trait pour sa part à une conception de l’’image’ dégagée du piège de l’Imaginaire. Il s’agit moins, cependant, d’un essai « littéraire » que d’une confrontation entre la pensée d’un contemporain capital et les représentants les plus autorisés en sciences humaines : histoire des mythes (Vernant, Detienne) ; iconologie ou histoire de l’art (Panofsky, Chastel, Wittkower, R.W. Lee, Duthuit, Marin, Damisch, Didi-Huberman, Freedberg, Belting) ; philosophie (outre Platon, Plotin et Marsile Ficin – Derrida pour le rapport à Platon ; Bréhier, Hadot, Puech pour le plotinisme ; Wahl pour le rapport à Kierkegaard) ; théologie (Nygren) touchant à l’icône (Grabar, Marion, Mondzain) ; et psychanalyse enfin (Freud, Green, Anzieu, Pommier, Pontalis, Laplanche, Monique Schneider). Si la question de « l’image » a été tenue pour centrale, c’est qu’elle se situe au carrefour de tous ces savoirs : image plastique, image du divin, image de l’Imaginaire inconscient ; elle est au cœur de la pensée d’Yves Bonnefoy, partagée entre sa défense et illustration des images, et sa dénonciation de l’image considérée comme le leurre où s’empiègent l’art et la vie même. « Ni iconophile, ni iconoclaste » : ce mot d’ordre, l’essai le prend au sérieux, en remontant à la question de l’eidolon antique et de sa transformation platonicienne, puis de la querelle théologique byzantine des images, pour dresser une « histoire de l’image » selon les articulations d’Yves Bonnefoy. Au passage, l’essai rend justice à l’athéisme déclaré du poète, en dissipant les imputations de crypto-christianisme par où se verrait trahie la fécondité de sa pensée de la finitude. La figure de Zeuxis comme mythe organisateur de la représentation apparaît au centre de la première partie (autour du refus du trompe-l’œil des raisins) : la seconde l’enrichit (à partir de la légende de l’electio du modèle en vue d’une représentation idéale, celle d’Hélène), au milieu d’autres mythes fondateurs de la mimésis : ceux de Glaucus, de Pygmalion et surtout de Psyché, revisités à partir d’Ovide et d’Apulée. Cette partie entend dégager la représentation des hypothèques fétichisantes qui obsèdent la modernité (faisant de l’art un fétiche, au sens freudien du terme) : au profit d’une « épiphanie d’amour » qui mène, en conclusion, à une « mimésis sauvée ». L’essai souligne à quel point, au moment où triomphaient les théories de la déconstruction de toute « présence », Yves Bonnefoy a su édifier une œuvre entièrement fondée sur la dialectique entre « présence » et « représentation » qui, loin de toute naïveté, garantisse la promesse du sens. Source d’inspiration, enfin, du colloque de Cerisy de 2006, que j’ai édité chez Hermann en 2007, Yves Bonnefoy. Poésie, recherche et savoirs, 612 p. (Comptes-rendus de Daniel Lançon, Europe, n°935 Gérard de Nerval, mai 2007, p. 378-380 ; et François Trémolières, « Universalia 2007 », Encyclopaedia Universalis, 2007, p. 385)

[6] Zeuxis auto-analyste. Inconscient et création chez Yves Bonnefoy, Bruxelles, La Lettre volée éd., 2006, 287 p. ’ L’Inconscient a toujours paru à Yves Bonnefoy – en dépit de dénégations de surface mal comprises par la critique – constitutif du phénomène créateur envisagé dans son noyau même, qui est celui de l’image (comme l’avait bien vu André Breton) ; et s’il en a critiqué l’économie, ce fut au nom d’une exigence d’auto-analyse que n’avait pas, à ses yeux, l’entreprise surréaliste. Or les développements actuels de la créativité de l’auteur frappent par leur exceptionnelle fécondité ; l’essai soutient l’hypothèse qu’on le doit à son exigence auto-analytique, clarifiant les rapports du sujet à ses objets d’amour fondamentaux : par pacification des relations à la figure maternelle (dépassant la lutte à son égard) et par réinscription de la figure paternelle. On ne saurait cependant prendre la mesure d’un tel trajet sans mettre en évidence son point de départ : une perception aiguë des luttes intrapsychiques et de la puissance du négatif, dont le rapport à l’œuvre de Bataille (profondément marquante, et qu’il s’agissait de mettre en évidence) offre un exemple privilégié. C’est bien ce qui ressort du traitement du mythe des oiseaux de Zeuxis (devenu organisateur du rapport à toute mimésis), comme de l’écho accordé à celui de Gradiva (via Jouve et Giacometti). S’en dégage une remise en cause fondamentale du primat de la transgression dans la représentation, au profit de la notion de franchissement, qui permet le dépassement en spirale des obsessions et des manques, en un remodelage de la fantasmatique qui ouvre, sans refoulement idéalisateur, à toute la fécondité des retrouvailles – ce plus grand mot, peut-être, d’une poétique de l’auto-analyse.

[7] René Char, une poétique du Retour, Hermann, 2007, 319 p. Issu de ma thèse et édité à l’occasion de l’année du centenaire de la naissance du poète, cet essai resitue Char dans son dialogue précoce avec la pensée de Nietzsche, qui l’amène à une vision d’Héraclite opposée à celle (hégélienne) des surréalistes, et le prédispose à sa rencontre tardive, via Jean Beaufret, avec Heidegger (est mise au point, à ce propos, la question du refus de type idéologique de la pensée heideggerienne par une partie de la critique). Interprétation fondamentale de l’ensemble de l’œuvre autour d’une appropriation de l’Éternel Retour (opposée à sa version deleuzienne et klossowskienne, circulaire), d’abord par des confrontations théoriques, puis, en une seconde partie, par l’établissement d’une « loi d’aval/amont » s’affirmant dès le premier versant de l’œuvre (surréaliste et post-surréaliste), interprétée texte à texte, et permettant de comprendre la nécessité du tardif Retour amont de 1966 comme structuration créatrice profonde.

[8] Philippe Jaccottet. À la lumière d’Ici, Hermann, 2008, 419 p. e Lecture de toute l’oeuvre de l’écrivain (traductions, critique journalistique, essais divers, Semaisons et poèmes) qui s’attache à l’arracher à la vision anti-intellectualiste qu’en a eu la critique, victime d’un mimétisme empêchant un véritable abord critique. Car Jaccottet est imprégné de pensée platonicienne depuis l’adolescence (et traducteur du Banquet, fait passé inaperçu), passionné jeune homme par les religions à mystère, et sa poésie de la ‘lumière’ dialogue sans cesse avec ce philosophe de la lumière par excellence qu’est Plotin. La première partie active le duel profond entre la fascination pour l’heureuse sensualité religieuse d’un paganisme reliant le sujet aux forces d’une nature ‘divine’, et la sévérité du calvinisme (subi par l’éducation) exigeant la responsabilité pour autrui, sur fond d’horreur de la mort. La seconde partie, passant outre les dénégations de l’auteur quant à son rapport à l’Inconscient, envisage le ‘récit poétique’ de L’Obscurité comme une auto-analyse autorisée par le décalage fictionnel, et voit dans la notion kleinienne de réparation (puis son dépassement) l’un des puissants moteurs de l’écriture éthique de l’auteur.

[9] L’Ailleurs en question. Essais sur la Littérature française des XIXe et XXe siècles, Hermann, mai 2009, 303 p. Issu du rassemblement d’études parues dans Romantisme, Littérature ou divers volumes d’hommage ou actes de colloque (sur Nerval et Gautier, Rimbaud, Mallarmé, Limbour et Baudelaire, Reverdy, Michaux, Gracq, Dotremont), et encadré par un chapitre introductif sur la révolution romantique de l’Ailleurs depuis Chateaubriand jusqu’à Segalen (le retournant rétrospectivement vers la nostalgie de la perte et le culte de l’origine), et un important ‘Épilogue’ inédit envisageant au contraire, depuis l’époque médiévale jusqu’aux siècles classiques, comment fonctionnait antérieurement l’Ailleurs, selon une prospection toujours vouée à l’utile (faire son salut, évangéliser et convertir, coloniser et organiser, collectionner et rapatrier les antiquités, répertorier et classer les espèces, projeter les utopies – bref inventorier toutes les ressources d’un recours prometteur). Cet essai constitue la pierre d’attente d’un futur ouvrage en préparation, Revenir Ici, qui envisagera les modes de dégagement hors du piège romantique de l’Ailleurs. Il a inspiré la plate-forme du colloque de Cerisy de 2008, dont j’ai rassemblé et publié les actes chez Hermann en 2009, L’Ailleurs depuis le romantisme, avec l’ambition que cette notion d’’Ailleurs’ – par une confrontation des points de vue de spécialistes des littératures française, comparée et francophone, et de représentants des sciences humaines (ethnologie, histoire, sociologie) – soit dégagée des études, elles bien connues, sur l’exotisme et l’altérité.
([compte-rendu de Jean-Marie Roulin, « Ailleurs et poésie », Acta Fabula, 21 juin 2010).

[10] Pensées sur la « scène primitive ». Yves Bonnefoy lecteur de Jarry et Lely, Hermann, septembre 2009, 119 p. Dans la continuité de mon essai antérieur Zeuxis auto-analyste. Inconscient et création chez Yves Bonnefoy, et de mon article de fond « Yves Bonnefoy et Freud », Europe, n° 954 [numéro spécial Freud et la culture], j’envisage le lien, du point de vue du rapport de la création artistique à l’Inconscient, entre l’approche de la « scène primitive » par l’écrivain, et le processus auto-analytique qui dynamise sa créativité (Anzieu, Green) ; d’abord par l’affrontement à deux œuvres fortement intériorisées par Yves Bonnefoy (celle, méconnue quant à son lien à l’auteur, de Jarry ; celle de Lely, qui a fait l’objet de cinq études de sa part), où la « scène primitive » se joue selon des scénarios régressifs ou transgressifs ; puis par la révélation, dans le tout dernier livre du poète (Deux scènes et notes conjointes) de l’abord de sa propre « scène primitive » – phénomène exceptionnel – : selon cette fois une optique de franchissement créateur, à la source de son étonnante fécondité.
(Compte-rendu de Jean Bellemin-Noël, « Un regard nouveau sur la Scène Originaire », site Fabula, Acta Fabula, 15 février 2010).

[11] Bonnefoy. Du mouvement et de l’immobilité de Douve (avec Marie-Annick Gervais-Zaninger), Neuilly, Atlande, 2015, 324 p.

[12] Lorand Gaspar, une poétique du vivant, Paris, Hermann, 2020, 430 p.

-> En préparation:
Art et essai dans l’œuvre d’Yves Bonnefoy.

2. Direction et codirection d’ouvrages collectifs :

[1] Treize ans d’études sur le surréalisme (D. Baudoin, dir.), codirection section III, « Compagnons de route, p. 91-163 (sur Arp, Artaud, Bataille, Char, Daumal, Gracq, Limbour, Mabille, Prévert, Queneau), Œuvres & critiques, n°XVIII/1-2, Tübingen, Gunten Narr Verlag, 1993, 284 p.

[2] Modernité et romantisme, Paris, Champion, 2001, 395 p. ; rédaction de la préface, p.13-25 ; et contribution : « L’Ailleurs romantique en question », p.211-233. Table des matières : La question du sujet : Patrick NÉE : « Critique du sujet et fondements de l’esthétique : “Beauté et vérité” depuis leur détermination romantique » ; Dominique COMBE : « L’esthétique kantienne et la genèse de l’Art pur : Baudelaire et le romantisme » ; André HIRT (philosophe) : « De Baudelaire à Hegel » ; Martine REID : « Le romantisme et moi (Flaubert) » ; Odile BOMBARDE (psychanalyste) : « Gradiva entre romantisme et psychanalyse » ; Monique SCHNEIDER (philosophe, psychanalyste) : « Freud et la désillusion certifiée » ; Rémi LABRUSSE (historien de l’art) : « Nous avons l’infini pour objet : Matisse et Derain ». Les lieux du sujet romantique : Isabelle BOUR : « Les lieux du sujet romantique » ; Nigel LEASK (Cambridge) : « Le Kubla Khan de Coleridge et l’orientalisme romantique » ; Isabelle BOUR : « Corps, paysage, nation (Radcliffe, Owenson, Scott) » ; P.-F. GORSE : « Turner et la modernité » ; Véronique PAULY : « Le cas Jim : la mal romantique et son traitement (Conrad) » ; Michel COLLOT : « Paysage et subjectivité » ; Pascal AQUIEN : « Blake et la question du sujet (Songs of Innocence) ». Traduction et politique : Jacques RANCIÈRE (philosophe) : « Y a-t-il un concept du romantisme ? » ; Michel DEGUY : « Fragments de l’utopie » ; Natacha MICHEL : « La prose de Kleist est-elle romantique ? » ; Éric DAYRE : « Traduction et prosaïque de la modernité » ; Herbert HOLL : « L’arbre qui verdit… » ; Michèle DRAPER : « Hopkins : un Grec parmi les modernes » ; J.-M. DEVÉSA : « Des poètes et de leur insoumission ».

[3] Philippe Jaccottet, Cognac, Éditions Le Temps qu’il fait, Cahier n°14, 2001, 326 p. ; co-direction, préface et contribution, p.183-208. Table des matières (de la section « Études ») : J.-M. SOURDILLON : « L’événement de février » ; Sébastien LABRUSSE (philosophe) : « L’épreuve de la joie » ; J.-C. MATHIEU : « La diction du deuil » ; Judith CHAVANNE : « Le manuscrit de Leçons » ; J.-M. MAULPOIX : « Jaccottet poète tardif » ; Mickaël EDWARDS : « Le temps d’avoir longé un pré » ; Patrick NÉE : « Faire la lumière (sur L’Obscurité) » ; Jérôme THÉLOT : « L’ignorance à l’infini » ; Daniel LANÇON : « L’Égypte inaccessible » ; Pierre PACHET : « Phrases musiliennes de Jaccottet » ; Michèle AQUIEN : « Philippe Jaccottet et le Haïku » ; Serge CHAMPEAU (philosophe) : « Éthique et poésie » ; Odile BOMBARDE (psychanalyste) : « L’échelle du rêve » ; Alain MADELEINE-PERDRILLAT (historien de l’art) : « Ces choses visibles qui se dérobent ». Témoignages et poèmes ; dessins, peintures et photographies ; bibliographie raisonnée ; inédits de l’auteur (Israël, Cahier bleu).

[4] Yves Bonnefoy, Assentiments et partages, William Blake & co. Éd., 2005 ; co-responsable de l’organisation du catalogue du Musée des Beaux-Arts de Tours, et nombreuses notices personnelles (« Portrait de femme » (Fayoum, Louvre), p.43-44 ; « Plotin », p.45-46 ; « Byzance », p.47-49 ; « Andrea Mantegna », p.51-52 ; « Agostino Caracci », p.53-54 ; « Nicolas Poussin », p.54-58 ; « Johann Liss (Moïse sauvé, Lille) », p.59-60 ; « Claude Gellée dit le Lorrain », p.61-62 ; « Francesco Caïro (Saint Sébastien soigné par Sainte Irène) », p.63-64 ; « Pierre-Henri de Valenciennes » p.76-77 ; « Edgar Degas », p.81-82 ; « Paul Cézanne » p.83-84 ; « Bram Van Velde » p.89-90).

[5] Yves Bonnefoy, poésie, recherche et savoirs (Actes du colloque de Cerisy-la-Salle d’août 2006), conférences et choix de transcription des débats et tables rondes ; Paris, Hermann, 2007, 612 p. Table des matières : Introduction générale : « Yves Bonnefoy et le goût des savoirs » ; Langage : Anne HÉNAULT : « Dire (et ne pas dire) Yves Bonnefoy » ; Simon BOUQUET : « Linguistique, interprétation et poésie » ; Fabio SCOTTO : « Le son de l’autre : théorie et pratique de la traduction d’Yves Bonnefoy » ; Aron KIBEDI VARGA : « La rhétorique et la peinture dans les essais d’Yves Bonnefoy » ; Table ronde « Langage » ; Histoire de l’art : Pierre SCHNEIDER : « Yves Bonnefoy et l’histoire de l’art » ; Rémi LABRUSSE : « Une poétique de l’histoire de l’art ? » ; Alain MADELEINE-PERDRILLAT : « Yves Bonnefoy et le musée » ; Table ronde « Histoire de l’art » ; Philosophie : Gwenaëlle AUBRY : « ‘Personne n’y marcherait comme sur terre étrangère’ : présences de Plotin chez Yves Bonnefoy » ; Marlène ZARADER : « Entre parole et présence : Yves Bonnefoy et Martin Heidegger » ; Nathalie DEPRAZ : « Yves Bonnefoy, praticien de la phénoménologie (sur ‘Les tombeaux de Ravenne’) » ; Yvon INIZAN : « Étapes sur le chemin de la poésie : Jean Wahl, une philosophie de l’existence » ; Isabelle de MONTMOLLIN : « Yves Bonnefoy, Léon Chestov et l’existentialisme » ; Table ronde « Philosophie » ; Histoire des idées, sociologie : Patrick LABARTHE : « Yves Bonnefoy et la poétique du romantisme » ; Marie-Claire DUMAS : « André Breton / Yves Bonnefoy : limites non-frontières ? » ; Paul DIRKX : « Réflexivité contre autotélisme : Yves Bonnefoy, poète militant » ; Histoire des religions, théologies : François TRÉMOLIÈRES : « Yves Bonnefoy et les sciences des religions : l’édition du Dictionnaire des mythologies » ; John NAUGHTON : « Yves Bonnefoy et les vertus théologales » ; François NAULT : « La poésie d’Yves Bonnefoy et le ‘théâtre des opérations’ théologiques » ; Henri LAUX : « Comme se trace le nom de Dieu » ; Table ronde « Histoire des religions et théologies, Histoire des idées » ; Psychanalyse : Jean GUILLAUMIN : « Un lieu pour l’indicible. Le poète et l’interprète, aux deux sources du sens » ; Monique SCHNEIDER : « De Freud à Yves Bonnefoy, le matricide déjoué » ; Michèle AQUIEN : « Les Découvertes de Prague et la question du savoir » ; André BEETSCHEN : « “Qui va là ?” Parler contre la nuit » ; Odile BOMBARDE : « La pensée du rêve » ; Table ronde « Psychanalyse » ; Conférence finale : Yves BONNEFOY : « La poésie, le savoir : quelques remarques, avec James Lawler » ; Débat final avec Yves Bonnefoy.

Série René Char, Paris/Caen, Éditorat des Lettres Modernes / Minard :

[6] Série René Char n°1: Le Pays dans la poésie de René Char, 1947-1970 (« Avant-propos » sur la Série, p.I-III ; préface au premier numéro, p.5-17 ; contribution : « Char, retour au site », p.213-234), 2005, 235 p.

[7] Série René Char n°2 : Poètes et philosophes. De la fraternité selon Char (avec contribution : « Char et Nietzsche ou de l’Éternel retour », p. 81-115), mai 2007, 268 p.

[8] Série René Char, n°3, René Char, regards sur le monde de l’art (Actes du colloque de Poitiers d’octobre 2007), textes et illustrations, 2010, 160 p.

[9] Yves Bonnefoy, traduction et critique poétique, Littérature, n° 150, juin 2008. Table des matières : « Présentation » du n°150 (p. 3-6). Premier versant sur la traduction. Yves BONNEFOY : « La traduction au sens large. À propos d’Edgar Poe et ses traductions ». Domaine italien : Fabio SCOTTO (Université de Milan ULM, poète, traducteur) : « Yves Bonnefoy traducteur de Leopardi et de Pétrarque » ; Michela LANDI (Université de Florence) : « Poésie et musique en traduction ». Domaine anglais : Pascale DROUET (Mcf Littérature anglaise, Université de Poitiers) : « L’écoute du féminin dans les traductions de Shakespeare : Cordélia, Perdita, Ophélie et Desdémone » ; Michael EDWARDS (professeur au Collège de France) : « Sur les sonnets de Shakespeare ». Deuxième versant sur la critique. Contribution personnelle constituant le second versant du numéro : Patrick NÉE : « De la critique poétique chez Yves Bonnefoy » (p. 81-120).

[10] René Char en son siècle (Actes du colloque du Centenaire, Paris III/ Paris IV/ BnF, juin 2007 ; co-dirigé avec Didier Alexandre, Michel Collot, Jean-Claude Mathieu et Michel Murat), Paris, Garnier, 2009, 392 p. Table des matières : Présentation. Contextes : Jean-Claude MATHIEU : « Page d’ascendant pour l’an 1964 » ; Didier ALEXANDRE : « La mémoire littéraire de René Char » ; Bertrand MARCHAL : « Le romantisme de René Char » ; Olivier BELIN : « Char et Breton : d’un surréalisme l’autre ». Penser en poésie : Françoise DASTUR (philosophie) : « René Char et Martin Heidegger, un dialogue » ; Christine DUPOUY : « Char et Blanchot, itinéraires croisés » ; Michel JARRETY : « Camus devant Char » ; Patrick NÉE : « Nietzsche ascendant ». Formes poétiques : Michel MURAT : « Char dans l’histoire des formes » ; Dominique COMBE : « René Char : la narrativité » ; Danièle LECLAIR : « La question du recueil » ; Philippe MET : « Esthétique et pragmatique du carnet : autour des Feuillets d’Hypnos ». Arts : Michel COLLOT : « Se rencontrer paysage » ; Martine CRÉAC’H : « Le musée inimaginable de René Char » ; Patrick QUILLIER : « L’oreille obstinée de la joie » ; Haydée CHARBAGI : « La poésie au miroir de la musique » ; Antoine CORON (BnF) : « René Char et le cinéma ». Histoire et mythe : Pierre BRUNEL : « Mythe et histoire dans l’œuvre de René Char. Feuillets pour un centenaire » ; Éric MARTY : « Feuillets d’Hypnos. Extase, histoire, engagement » ; Jean-Michel MAULPOIX : « Résistance de René Char » ; Laure MICHEL : « Sortir de l’histoire se peut ». Dialogues et filiations : Jean-François LOUETTE : « Bataille et Char, deux versions du soleil » ; Nathalie FROLOFF : « Char et les revues littéraires : étude de réception de 1945 à 1949 » ; Laurent FOURCAUT : « Sur la lancée de Char, Fourcade » ; Stéphane BAQUEY : « L’héritage du poète : une inadmissible grandeur ? » ; Valéry HUGOTTE : « Notre amitié : René Char et Jacques Dupin ».

[11] L’Ailleurs depuis le romantisme. Essais sur les littératures en français (Actes du colloque de Cerisy-la-Salle de septembre 2008), Paris, Hermann, novembre 2009, 520 p. Table des matières : Introduction générale ; Francis AFFERGAN (ethnologie) : « Y a-t-il un moment romantique dans l’histoire de l’anthropologie ? » ; Jean-Marie ROULIN : « Une figure de l’Ailleurs romantique : la patrie aliénée (Les Aventures du dernier Abencérage, Le Colonel Chabert, Sylvie) ; Jean-Nicolas ILLOUZ : « Nerval : l’Orient intérieur » ; Patrick LABARTHE : « Le voyageur qui se retourne le soir : Baudelaire et l’Ailleurs rétrospectif » ; Alain GUYOT : « Gautier en voyage ou l’Ailleurs à deux pas d’ici » ; Sarga MOUSSA : « Un voyage, deux regards : la construction de l’ailleurs oriental chez Lamartine et Delaroière » ; Sylvain VENAYRE (historien) : « L’Ailleurs dans la pensée historique de Jules Michelet » ; Paul-André CLAUDEL : « Alexandrie, capitale de l’Ailleurs ? Les paradoxes de l’alexandrinité chez A.J. Sinadino » ; Colette CAMELIN : « Océanie : Éden, sauvagerie, mélancolie » ; Marie-Paule BERRANGER : « Les ailleurs de Blaise Cendrars » ; Catherine MAUBON : « L’Ailleurs de Michel Leiris » ; Marie-Annick GERVAIS-ZANINGER : « Julien Gracq, de l’Ailleurs à l’Ici » ; Daniel LANÇON : « Georges Henein ou l’impossible Ici de l’Ailleurs » ; Paul DIRKX (sociologie littéraire) : « Christian Dotremont : l’Ailleurs comme limite du champ littéraire » ; Muriel DÉTRIE : « Le voyage en Orient de Nicolas Bouvier : quête d’Ailleurs et désorientation » ; Ridha BOULAÂBI : « La langue orientale, ou le dernier Ailleurs chez Claude Ollier » ; Claude COSTE : « L’assentiment du voyageur (Roland Barthes) » ; Xavier GARNIER : « De l’Ailleurs enfoui à l’Ailleurs révélé : résurgences postcoloniales » ; Daniel-Henri PAGEAUX : « L’Ici/Ailleurs dans la littérature antillaise » ; Michel BENIAMINO et Carmen HUSTI-LABOYE : « De la littérature et de l’Ailleurs. Regard, image, rencontre » ; Véronique PORRA : « L’Ici-Ailleurs des singularités francophones. Sur quelques motifs récurrents dans les écritures migrantes en France » ; Patrick NÉE : « Yves Bonnefoy déconstructeur de l’Ailleurs » ; Yves BONNEFOY : « Le lieu d’herbes, le lac au loin ».

[12] Poésie, arts, pensée. Cartes blanches données à Yves Bonnefoy, Actes rassemblés par Patrick Née, Paris, Hermann, 2010, 232 p. Table des matières : Patrick NÉE : « Note de l’éditeur » ; Yves BONNEFOY : « Carte blanche » ; Michela LANDI (Univ. de Florence) : « La musique est femme. La pensée musicale des poètes au XIXe siècle » ; Didier LAROQUE (architecte, ENS d’architecture de Paris) : « Considérations sur la poésie et l’architecture » ; Jérôme THÉLOT : « Le poétique et le photographique » ; Bernard VOUILLOUX : « Ut pictura poesis : du partagé au spécifique » ; table ronde 2007 ; Marlène ZARADER (philosophie, Montpellier 3 et IUF) : « La poésie entre langage et silence » ; Patrick NÉE : « Poésie et psychanalyse » ; François TRÉMOLIÈRES : « Expérience et langage : la mystique » ; table ronde 2008.

[13] Lorand Gaspar. La matière-monde [actes du colloque de Tunis 2013], dir. Marie-Antoinette Bissay et Anis Nouaïri, avec la collaboration de Patrick Née, Paris, L’Harmattan, 2015, 396 p.

[14] Le Quatrième Genre : l’essai [actes du colloque de Poitiers nov. 2015], Rennes, Presses Universitaires de Rennes (PUR), 2018, 351 p. ; « Introduction », p. 7-14 ; « Sur la notion de quatrième genre », p. 17-21 ; « De l’essai dans son rapport aux nations », p. 41-44 ; « Sur l’implication critique de l’essai », p. 147-150 ; « Subjectivité, objectivité de l’essai », p. 237-240 ; « Conclusion », p. 321-325.

[15] Naissance de la critique littéraire et de la critique d’art dans l’essai [Séminaire de l’équipe « Histoire et poétique des genres » du Forell de Poitiers], Paris, Classiques Garnier, 2019, 429 p. ; « Avant-propos », p. 7-10 ; « Naissance de l’essai », p. 13-15 ; « Naissance de la critique littéraire », p. 53-58 ; « Naissance de la critique d’art », p. 229-238.

[16] Michèle Finck, Nu(e), n°69, paru dans Loxias n°65, mis en ligne le 16 juin 2019 ; URL : http://revel.unice.fr/loxias/index.html?id=9210; Nu(e) n°69, Michèle Finck, Poezibao, juin 2019, 409 p.

3. Direction de dictionnaire

[17] Dictionnaire René Char (codirigé avec Danièle Leclair), Paris, Garnier, 2015, 715 p.[compte-rendu Europe n°1036-1037, août-sept. 2015, p. 338-340]

4. Coéditeur d’un volume de la « Bibliothèque de la Pléiade »

[18] Yves Bonnefoy, Œuvres poétiques, Paris, Gallimard, 1700 p., parution 2018 ; notices, notes sur le texte et annotations de « Sept feux », La Présence et l’Image, Là où retombe la flèche, Une autre époque de l’écriture, La Vie errante, « L’enjeu occidental de la poésie », Le Grand Espace, Le Lieu d’herbes, le lac au loin suivi de Mes souvenirs d’Arménie, L’Heure présente, Ensemble encore.

5. Articles en revues à comité de lecture

a. Études dix-neuviémistes

[1] « L’Ailleurs maritime chez Rimbaud », Littérature, n° 147, septembre 2007, p. 3-20 (18 p.)
[2] « Ailleurs et poésie (Mallarmé) », Romantisme, n° 137, 3ème trim. 2007, p. 125-135 (11 p.)
[3] « De Nerval à Gautier, l’empiègement romantique du trajet de l’âme », Romantisme, n°142, décembre 2008, p. 105-121 (17 p.)
[4] « De quel voile s’enveloppe le Voyage en Orient de Nerval ? », Littérature, n°158 spécial Nerval, dir. Jean-Nicolas Illouz, juillet 2010, p. 75-91 (17 p.)
[5] « De la couleur locale dans la palette de l’Ailleurs romantique », Romantisme, « Les couleurs du XIXe siècle », dir. Alain Vaillant, parution 2012
[6] « ‘Hystérie’ de Baudelaire », in L’Année Baudelaire, « Hommage à Max Milner », dir. Paolo Tortonese, parution 2012

[7] « Baudelaire et l’hystérie en son temps (1800-1860) », RHLF n°4-2016, p. 839-854 (16 p.)

b. Études vingtiémistes

[8] « Avant-garde ou sauvegarde de soi : À cor et à cris de Michel Leiris », Pleine Marge. Cahiers de littérature, d’arts plastiques et de critique, n° 17, juin 1993, p. 91-107 (17 p.)
[9] « Dix années de critique sur Char », Revue des Sciences Humaines, n°233, 1994-1, p.115-153 (49 p.)
[10] « Le Pays d’Yves Bonnefoy », Le Nouveau Recueil, n° 36 [dossier « Sentiment-paysage », dir. Michel Collot], sept.-nov.1995, p. 131-144 (14 p.)

[11] « Une mémoire en rêve. Dans les sables rouges », Europe, n° [numéro spécial d’hommage à Yves Bonnefoy], 2017, p. 123-136.

c. Théorie de la critique littéraire

[12] « De la critique poétique selon Yves Bonnefoy », Littérature, n°150 [numéro spécial Yves Bonnefoy. Traduction et critique poétique, dir. Patrick Née], juin 2008, p. 81-120 (40 p.)

[13] « Poésie et critique : Yves Bonnefoy » [sur les publications récentes], L’Écrivain critique, dir. Marie-Paule Berranger, Revue des Sciences Humaines n°306, avril-juin 2012, p. 109-130 (22 p.)

d. Littérature et philosophie

[14] « Lectures de formation d’une athéologie négative », Europe, n° 890-891 [numéro spécial Yves Bonnefoy], juin-juillet 2003, p.73-97 (25 p.)
[15] « Le ‘hasard objectif’, une allégorèse problématique (André Breton, L’Amour fou) », Revue d’Histoire Littéraire de la France, 2008 / n°1, p. 133-157 (25 p.)

e. Littérature et psychanalyse

[16] « Yves Bonnefoy et Freud », Europe, n° 954 [numéro spécial Freud et la culture], octobre 2008, p. 239-261 (23 p.)
[17] « Poésie et récit : l’exemple de La Chanson du Mal-Aimé », Revue d’Histoire Littéraire de la France, 2010 / n°2, p. 411-429 (19 p.)

f. Études sur l’image de l’art

[18] « Pygmalion, ou l’amoureux plasmateur » (à propos d’Ovide), Le Nouveau Recueil, n° 53 [dossier « Images et icônes », dir. Jean Roudaut], nov. 1999, p.116-124 (11 p.)
[19] « Le chef-d’œuvre trop connu (Balzac, Frenhofer et nous) », in La Conscience de soi de la poésie [anthologie des colloques de la Fondation Hugot du Collège de France (1993-2004)],Le Genre Humain, n°47, Éditions du Seuil, avril 2008, p. 57-76 (20 p.)
 [20] « Le musée chez Yves Bonnefoy : « vrai lieu » ou « lieu » tout court ? », Rivista di Letterature moderne e comparate, Pise, Pacini éditore, 2016 n°1, p. 65-91 (27 p.)

6. Participations à ouvrages collectifs, et autres articles en revues

a. Études dix-neuviémistes

[21] « De l’artiste et du pouvoir : l’Allemagne comme horizon mythique du romantisme dans Le Cousin Pons », in Les Parents pauvres (Actes du colloque d’Amsterdam 1979), Paris, SEDES-CDU, 1981, p. 47-59 (12 p.)
[22] « 1857 : le double procès de Madame Bovary et des Fleurs du Mal », in La Censure en France (dir. Pascal Ory), (Actes du colloque de Bourges 1993), Bruxelles, Éditions Complexe, 1997, p. 119-143 (24 p.)
[23] « L’Ailleurs romantique en question » (de Chateaubriand à Segalen), in Modernité et romantisme, Paris, Honoré Champion, 2001, p. 211-233 (33 p.)
[24] « L’Ailleurs et l’Ici dans le traitement du paysage des Martyrs », in Les Martyrs, Bulletin de la Société Chateaubriand, 2010, p. 71-93 (23 p.)
[25] « Au cœur de l’Ailleurs romantique : le cas Musset », in Musset. Poésie et vérité (actes du colloque Musset des Archives Nationales, oct. 2010), dir. Gisèle Séginger, Paris, Honoré Champion, 2012, p. 117-138 (22 p.)

b. Études vingtiémistes (surréalisme et alentours)

[26] « Nantes chez Gracq et Tours chez Bonnefoy », Nice, Les Mots la vie n°6, numéro spécial La Ville surréaliste, dir. Colette Guedj, 1989, p.71-82 (12 p.)
[27] « Y a-t-il un art poétique surréaliste ? », Études littéraires (Montréal, Presses de l’Université Laval), numéro spécial « Ars poetica », 1990, p. 87-99 (13 p.)
[28] « Du Nord et du Sud chez Pierre Reverdy », in Le Centenaire de Pierre Reverdy (Actes du colloque d’Angers 1989), P.U. d’Angers, 1990, p. 49-64 (16 p.)
[29] « Ah ! Quel malheur que Christophe Colomb ait découvert l’Amérique ! (Henri Michaux, Ecuador) », in Nouveau monde, autres mondes (Actes du colloque CNRS de la Maison des Amériques 1994), Paris, Lachenal et Ritter, 1995, p. 129-146 (18 p.)
[30] « L’Incarnation chez Pierre Jean Jouve », in Pierre Jean Jouve 5, Jouve et les jeux de l’écriture (dir. Christiane Blot-Labarrère), Paris/Caen, Éditorat des Lettres Modernes / Minard 1996, p. 105-124 (20 p.)
[31] « L’Ailleurs-Ici de Christian Dotremont », in Christian Dotremont, multiple à l’infini (Actes du 1er colloque Christian Dotremont de Montpellier 2002), Montpellier, Presses de l’Université Paul Valéry, 2005, p. 133-179 (47 p.)
[32] « L’intensité faite poème long au XXe siècle : Les Mégères de la mer de Louis-René des Forêts », in L’Intensité (Actes du colloque de Poitiers/château d’Oiron de juin 2009), Rennes, P.U.R., 2011, p. 283-297 (15 p.)
[33] « D’une douleur capitale dans les « Nouveaux poèmes » », in Lectures de Paul Eluard. Capitale de la douleur, dir. Benoit Conort, Rennes, PUR, 2013, p. 211-228 (18 p.)
[34] « « Nouveaux poèmes » : quelques interprétations », in Capitale de la Douleur de Paul Eluard, dir. Aurélie Loiseleur et Laurent Zimmerman, Paris, Hermann, coll. « Textuel », 2014, p. 61-76 (16 p.)
[35] « Une correspondance passionnelle : Aragon/Breton », Cahiers Aragon n°1, dir. Luc Vigier, Éditions Les Cahiers, 2016, p. 43-81 et notes p. 226-229 (43 p.)

[36] « De la montagne analogique chez Pierre-Albert Jourdan », in Pierre-Albert Jourdan, ici, dans le débordement de l’espace [Actes du colloque de Lyon 3 de février 2014], dir. François Lallier et Jérôme Thélot, Lettres n°2, Paris, Éditions Aden, 2016, p. 225-259 (35 p.)

c. Études vingtiémistes (le « récit poétique » / poésie et récit)

[37] « L’Ailleurs en question dans le ‘récit poétique’ », in L’Histoire et la géographie dans le récit poétique (dir. Sylviane Coyault), Clermont-Ferrand, CRLMC, 1997, p.469-485 (17 p.)
[38] « Un exemple d’enseignement en poétique moderne : Breton, Bonnefoy, Des Forêts », Incendits n° 21/22, 1998, p. 45-58 (14 p.)
[39] « Pourquoi du récit poétique ? », in La Poésie dans la prose, Paris, E.N.S. Éditions, 2000
[40] « Les Fleurs du mal de Limbour (sur Les Vanilliers) », in Territoires de la poésie contemporaine. Mélanges offerts à Marie-Claire Dumas (dir. Nathalie Piegay-Gros), Paris, Honoré Champion, 2001, p. 35-59 (25 p.)
[41] « Faire la lumière (sur L’Obscurité) », in Philippe Jaccottet (dir. P. Née et J. Thélot), Cahier quatorze, Cognac, Le Temps qu’il fait, 2001, p. 183-208 (26 p.)
[42] « Du mélancolique dans les vies imaginaires (sur Pascal Quignard) », Otrante, « Vies imaginaires » (dir. Ariane Eissen), Paris, Éditions Kimé, 2005, p.167-197 (31 p.)
[43] « Esther Tellermann, Une odeur humaine », Ritm n° 34, « Études sur le temps lyrique » (dir. Jean-Michel Maulpoix), Presses de l’Université Paris X, 2006, p. 155-161 (7 p.)

[44] « Sous le signe de Phantase : une poétique du fantasme » (sur L’Hérésiarque & Cie), in Apollinaire poète en prose [actes du colloque de Stavelot de septembre 2011], dir. Gérald Purnelle, Clamart, Éditions Calliopées, 2014, p. 84-101 (17 p.)

d. Poètes de « l’extrême contemporain »

[45] « Entretien avec Esther Tellermann », Esther Tellermann, Nice, Nu(e) n° 39, juin 2008, p.7-27 (21 p.)
[46] « Un parcours en poésie », « Hommage à Esther Tellermann », Tel-Aviv, Continuum. Revue des Écrivains israéliens de Langue française n°8, 2011, p. 172-196 (25 p.)
[47] « Une poésie de haut langage », introduction au cahier « François Lallier », Europe, novembre 2012, p. 219-223
[48] « Le retournement de la mélancolie. Entretien avec François Lallier », ibid., p. 224-235 (12 p.)
[49] « D’une voix au-delà de l’angoisse », ibid., p. 242-248
[50] « Une poétique de la voix », introduction au cahier « Esther Tellermann », Europe, octobre 2014, n°1026, p. 141-145
[51] « Ut musica poesis » [sur La Troisième Main de Michèle Finck], rubrique « Littérature et musique », Poezibao, mis en ligne le 30 oct. 2015 (pdf, 8 p.)
[52] « Cri ou caresse » [sur Sur un piano de paille. Variations Goldberg avec cri de Michèle Finck], Poezibao, mis en ligne le 27 avril 2020 (pdf, 44 400 signes)

[53] « Mythe et maniera dans la poétique d’Esther Tellermann » [sur Un versant l’autre d’E. Tellermann], Poezibao, mis en ligne le mai 2020 (pdf, 24 900 signes)

e. Études chariennes

[54] « Le poème en prose dans l’œuvre de René Char », Sud, numéro spécial René Char (Actes du colloque international de Tours1983), 1984, p.131-148 (18 p.)
[55] « Femme d’aval », Nice, Les Mots la vie, n° 7, numéro spécial La Femme surréaliste, 1992, p.117-129 (13 p.)
[56] « Le Temps comme Retour dans Fureur et mystère », in Autour de René Char (Actes du colloque Char de l’E.N.S. 1990), Paris, Presses de l’École Normale Supérieure, 1991, p.93-108 (16 p.)
[57] « Situation sur Char et le surréalisme depuis 1979 », Tübingen, Œuvres & critiques, n° XVIII 1-2, Treize ans d’études sur le surréalisme, 1993, p.117-125 (9 p.)
[58] « René Char dans l’arène idéologique de son temps : les utopies sanglantes du XXe siècle », in Trois poètes face à la crise de l’histoire (Actes du colloque de Montpellier 1996), Paris, L’Harmattan, 1997, p.155-184 (30 p.)
[59] « Amont, un mythe de compromis », in René Char, dix ans après (Actes du colloque de Montpellier 1998), Paris, L’Harmattan, 2000, p.155-179 (25 p.)
[60] « Char, retour au site », in Série René Char, livraison n° 1, Paris/Caen, Éditorat des Lettres Modernes / Minard, 2005, p.213-234 (22 p.)
[61] « L’Ailleurs de René Char », in René Char dans le miroir des eaux (Actes du colloque de Fontaine-de-Vaucluse de septembre 2007), Paris, Beauchesne, 2008, p. 85-103 (19 p.)

f. Études sur Lorand Gaspar

[62] « Éloge de la voûte », in Lorand Gaspar, Nice, Nu(e) n°17, avril 2002, p.73-99 (27 p.)
[63] « Le non-ailleurs de Lorand Gaspar », in Lorand Gaspar, Cahier seize, Cognac, Le Temps qu’il fait, 2004, p. 334-351 (18 p.)
[64] « Hommes, bêtes et dieux », in Un poète près de la mer, Bordeaux, Sud Éditions / Presses Universitaires de Bordeaux, 2004, p.133-177 (50 p.)
[65] « Le divisé, l’indivisible : sur les œuvres croisées d’Alexandre Hollan et Lorand Gaspar », in Lorand Gaspar (dir. Maxime Delfiol), Nunc, n°17 (avec illustrations de l’artiste Alexandre Hollan), novembre 2008, p. 37-54 (18 p.)
[66] « L’essai chez Lorand Gaspar : art, science et existence », in Lorand Gaspar. La matière-monde [actes du colloque de Tunis 2013], dir. Marie-Antoinette Bissay et Anis Nouaïri, 2015, p. 59-72 (14 p.)
[67] « Le travail de l’essai : archives d’Approche de la parole », in Lorand Gaspar, archives et genèse de l’œuvre, dir. D. Leclair et A. Gourio, 2017, Paris, Classiques Garnier, p. 231-250 (20 p.)
[68] « L’essai chez Lorand Gaspar. Une médiation entre sciences et poésie », in Penser le vivant, dir. L. Dahan-Gaïda, C. Maillard, G. Séginger & L. Talairach-Vielmas, Paris, Éditions de la Maison des Sciences de l’homme, 2017, p. 325-340 (16 p.)

g. Études sur Yves Bonnefoy

[69] « Bonnefoy sans Loire », in La Loire et ses poètes (actes du colloque d’Angers 1988), Presses de l’Université d’Angers, 1989, p. 681-690 (10 p.)
[70] « Dévotions (Arthur Rimbaud, André Breton, Yves Bonnefoy) », in Le Texte offert (dir. Jean-Michel Maulpoix), Paris, E.N.S. Éditions, 1996, p.227-264 (38 p.)
[71] « Rome n’est plus dans Rome », in Yves Bonnefoy, Cognac, Le Temps qu’il fait, Cahier n°11, 1998, p.131-151 (21 p.)
[72] « Savoir lire, mais pour lever les yeux du livre », in Avec Yves Bonnefoy. De la poésie (dir. François Lallier), Presses Universitaires de Vincennes, 2001, p.81-108 (28 p.)
[73] « Amne perenne latens, Anna Perenna vocor : Yves Bonnefoy lecteur de Jarry », in Yves Bonnefoy et le XIXe siècle. Vocation et filiation, Tours, Presses de l’Université de Tours, 2001, p.195-211 (17 p.)
[74] « Une poétique des retrouvailles », in Lire Les Planches courbes d’Yves Bonnefoy, Paris, Vuibert, 2006, p. 119-147 (29 p.)
[75] « Yves Bonnefoy déconstructeur de l’Ailleurs », in L’Ailleurs depuis le romantisme (Actes du colloque de Cerisy-la-Salle de sept. 2008), Hermann, 2009, p. 471-496 (26 p.)
[76] « Une déconstruction de l’idéologie : la promotion du féminin chez Shakespeare », in Cahier de l’Herne Yves Bonnefoy, dir. Odile Bombarde et Jean-Paul Avice, Paris, Éditions de L’Herne, 2010, p. 217-223 (8 p.)
[77] « Rature contre censure » [sur Raturer outre d’Yves Bonnefoy], in Visages de la poésie au XXe siècle, dir. Marie-Annick Gervais-Zaninger, Nancy, P.U.N., 2012, p. 151-183 (33 p.)
[78] « Psyché aujourd’hui », in Yves Bonnefoy. Poésie et dialogue, dir. Michèle Finck et Patrick Werly, Strasbourg, Presses Universitaires de Strasbourg, juin 2013, p. 117-134 (18 p.)
[79] « L’essai littéraire : l’exemple d’Yves Bonnefoy (sur Nerval, Baudelaire, Rimbaud et Mallarmé », Séoul, Revue d’Études Francophones, Centre de recherches sur la Francophonie-Université Nationale de Séoul, n°23, 2013, p. 471-504 (34 p.)
[80] « Yves Bonnefoy et l’image surréaliste », Skené. Revue de Littérature française et italienne contemporaine, Schena editore (Fasano, Italie) et Alain Baudry & Cie (Paris), IVe année, 2015, p. 43-74 (32 p.)
[81] « Sur l’Inconscient créateur dans Douve », Textuel, Hermann éd., 2015, p. 67-78 (22 p.).
[82] « Sur L’Heure présente », in Hommage à Yves Bonnefoy [actes du colloque de la Fondation Hugot du Collège de France de juin 2013], dir. Pierre Brunel, Montpellier, Éditions Espaces 34, 2016, p. 79-97 (19 p.)
[83] « Hommage à Yves Bonnefoy », Place de la Sorbonne, n°7, avril 2017, p. 335-356 (22 p.)
[84] « La scène de l’inconscient dans l’œuvre d’Yves Bonnefoy », in « Théâtralité dans l’oeuvre d’Yves Bonnefoy », dir. G. Declercq, Registres n°21, 2019, p. 142-159 (18 p.)
[85] « Le cas d’un poète : lectures d’enfance d’Yves Bonnefoy », in Lectures de la première fois, dir. Antonia Zagamé et Pierre Loubier, Poitiers, Cahiers du Forellis, 2020, p.
[86] « Sur « Le peintre dont l’ombre est le voyageur » », in L’Art dans le réel et la fiction ultra-contemporaine, dir. Anne-Marie Reboul, Thélème. Revista Complutense de Estudios Franceses, Peter Lang, 2020, [79 300 signes]
[87] « Une lecture de Marceline Desbordes-Valmore par Yves Bonnefoy », in Cahiers Marceline Desbordes-Valmore, 2020, p.

h. Théorie de la critique littéraire

[88] « De la présence selon Yves Bonnefoy », in Sens et présence du sujet poétique. La poésie de la France et du monde francophone depuis 1980 [colloque de Dublin de septembre 2003], dir. Michael Brophy, Amsterdam/New York, Rodopi, 2006, p. 259-267 (9 p.)

[89] « Création, invention ou découverte ? Leurs enjeux en poésie contemporaine », in L’Invention en littérature [actes du colloque de Dijon d’octobre 2009], dir. Sylviane Léoni, Paris, Garnier, 2012, p. 39-58 (22 p.)

i. Littérature et philosophie

[90] « Julien Gracq phénoménologue ? » (Actes du colloque « Julien Gracq » de Cerisy-la-Salle 1991), in Julien Gracq 2 (dir. Michel Murat), Paris/Caen, Éditorat des Lettres Modernes / Minard, 1994, p. 163-182 (20 p.)
[91] « Le Dialogue Char/Heidegger », Le Magazine littéraire, n° 340, fév.1996, p. 44-48 (5 p.)
[92] « L’Ici de Philippe Jaccottet », in Philippe Jaccottet. La Mémoire et la faille, Montpellier, Publications de l’Université Montpellier 3, 2002, p.157-216 (54 p.)
[93] « Char et Nietzsche, ou de l’Éternel retour », in Série René Char, livraison n° 2, Paris/Caen, Éditorat des Lettres Modernes / Minard, mai 2007, p. 81-115 (35 p.)
[94] « Nietzsche ascendant », in René Char en son siècle (Actes du colloque du Centenaire, BnF/Paris 3/Paris 4 de juin 2007), Paris, Garnier, 2009, p. 121-132 (12 p.)
[95] « Paul Ricœur : sous tension », in Paul Ricœur. Les pouvoirs heuristiques de la fiction, dir. Yvon Inizan et Frédéric Worms.

j. Littérature et psychanalyse

[96] « Autoportrait de Zeuxis », in Yves Bonnefoy, Nice, Nu(e), mars 2000, p.119-127 (9 p.)
[97] « Quels oiseaux pour Zeuxis ? », in Yves Bonnefoy. Lumière et nuit des images (dir. Muriel Gagnebin), Seyssel, Champ Vallon, « L’or d’Atalante », 2005, p. 201-218 (18 p.)
[98] « Réparer », in Présence de Jaccottet, Paris, Éditions Kimé, 2007, p. 81-106 (26 p.)
[99] « Poésie et psychanalyse », in Poésie, arts, pensée. Carte blanche donnée à Yves Bonnefoy, Actes rassemblés par Yves Bonnefoy et Patrick Née, Paris, Hermann, 2010, p. 167-186 (20 p.)
[100] « Quels rapports entre psychanalyse et fantastique aujourd’hui ? », Otrante. Art et littérature fantastiques, n°30, « Fantastique intérieur », dir. Ariane Eissen, éd. Kimé, 2011, p. 7-39 (33 p.)
[101] « Surréalisme et inconscient freudien : sur les pas de Gradiva, d’André Breton à Yves Bonnefoy », in L’En-deçà des images [actes du Symposium de l’INHA de novembre 2013], dir. Muriel Gagnebin, Seyssel, Champ Vallon, « L’or d’Atalante », 2014, p. 95-110 (16 p.)
[102] « Poésie et inconscient. De Poe et Coleridge à Baudelaire et Mallarmé ou Rimbaud, nonobstant Valéry », in Voix d’Orient, dir. Ridha Boulaâbi, Grenoble, Ellug, 2019, p.209-230 (21p.)

k. Études sur l’image de l’art

*Cinéma :
[103] « Le plaisir comme moment problématique de la représentation buñuélienne », in Du surréalisme et du plaisir (Actes du colloque de Royaumont 1985), Paris, José Corti, 1987, p. 55-69 (15 p.)
[104] « Royaumes de ce monde, scénario matriciel », in Yves Bonnefoy et l’Europe du XXe siècle, Strasbourg, Presses de l’Université de Strasbourg, 2003, p. 377-391 (15 p.)

*Théorie de l’« image » :
[105] « Pour une approche de la notion d’image dans l’œuvre d’Yves Bonnefoy » in Texte/image : nouveaux problèmes (Actes du colloque « Texte/image » de Cerisy-la-Salle 2003), Rennes, P.U.R., 2005, p. 219-252 (33 p.)
[106] « Du rôle de l’art : nécessité des images, critique de “l’Image” », in Yves Bonnefoy, poétique et ontologie, Bordeaux, William Blake & Co. Éd., mai 2008, p. 13-34 (22 p.)

*Critique d’art :
[107] « Arts et poésie : pour une poétique fondamentale, ou l’au-delà du paragone », in Yves Bonnefoy. Écrits récents (Actes du colloque de Zurich d’octobre 2009), dir. Patrick Labarthe et Odile Bombarde, Paris, Champion, 2010, p. 417-443 (27 p.)
[108] « Yves Bonnefoy : une pratique poétique de l’histoire de l’art », in L’Écrivain et le spécialiste (Actes du colloque de Sorbonne de janvier 2009), dir. Dominique Vaugeois, Garnier, 2010, p. 287-304 (18 p.)
[109] « La critique d’art d’Apollinaire en 1913 », in 1913, cent ans après [actes du colloque de Cerisy-la-Salle de juillet 2013], dir. Marie-Paule Berranger et Colette Camelin, Hermann, 2014, p. 387-408 (22 p.)
[110] « Du Sud dans les chroniques et paroles sur l’art d’Apollinaire », in Apollinaire méditerranéen [actes du colloque du Centenaire, Aix, avril 2013], dir. Claude Debon et Claude Pérez, Éditions Calliopées, 2016, p. 287-316.
[111] « Art et essai : l’exemple majeur d’Yves Bonnefoy », in Le Quatrième Genre : l’Essai, dir. Patrick Née, Rennes, PUR, 2017, p. 213-234 (22 p.)
[112] « Apollinaire et les derniers feux des Salons », in Naissance de la critique littéraire et de la critique d’art dans l’essai, dir. Patrick Née, Paris, Classiques Garnier, 2019, p. 363-390 (28 p.)

l. Études sur les artistes

[113] Sur Nasser Assar : « Fleur de terre », in Yves Bonnefoy/Nasser Assar, Nice, Nu(e) n°13, 2001, p. 57-62 (6 p.)
[114] Sur Christian Gardair : « Paysageur m’évoque… », in Christian Gardair, Paysageur, Libourne, Lis 33 imprimeur, 2001, n. p.
[115] Sur Christian Gardair : « Métamorphoses », in Christian Gardair, Sublimations, Libourne, Lis 33 imprimeur, 2005, n. p.
[116] Sur Alexandre Hollan : « De l’incarnation chez Alexandre Hollan », in Cahier Alexandre Hollan (dir. Jean-Yves Pouilloux), Bordeaux, William Blake & Co. Éd., 2008, p. 253-260 (8 p.)
[117] Sur Christian Gardair : « « Sans nuage », in Christian Gardair, Ciel(s), Libourne, Lis 33 imprimeur, 2011, p. 34-36

7. Articles de dictionnaires :

a. Encyclopédie philosophique universelle, Paris, PUF, t. III, dir. Jean-François Mattéi, 1990 :
[1] Notice « René Char », p. 2222-2225
[2] Notice « Julien Gracq »
[3] Notice « Yves Bonnefoy »

b. Dictionnaire René Char, Paris, Garnier, 2015 :
27 notices : 205 539 signes en tout :
[4] Notice « Anthologies », p. 27-31
[5] Notice « Articles de presse », p. 50-54
[6] Notice « Bataille (Georges) », p. 67-69
[7] Notice « Bâton de rosier (Le) », p. 69-73
[8] Notice « Battistini (Yves) », p. 73-74
[9] Notice « Beaufret (Jean) », 76-78
[10] Notice « Bosquet (Alain) », 95-96
[11] Notice « Chateaubriand (François-René de) », 144-145
[12] Notice « Critique littéraire », 174-177
[13] Notice « El-Kayem (Henri) », p. 200-202
[14] Notice « El-Kayem (Marthe) », p. 202
[15] Notice « Empédocle (revue) », p. 206-208
[16] Notice « Entretiens », p. 210-212
[17] Notice « Étiemble (René) », p. 218-220
[18] Notice « Grillet (Ciska) », p. 273-274
[19] Notice « Heidegger (Martin) », 286-290
[20] Notice « Héraclite », p. 290-293
[21] Notice « Lely (Gilbert) », p. 341-344
[22] Notice « Mounin (Georges) », p. 381-384
[23] Notice « Nietzsche (Friedrich) », p. 389-393
[24] Notice « Pilon (Jean-Guy) », p. 432
[25] Notice « Rimbaud (Arthur) », p. 488-490
[26] Notice « Sénac (Jean) », p. 509-510
[27] Notice « Vigny (Alfred de) », p. 607-609

c. Dictionnaire Apollinaire, dir. Daniel Delbreil, Paris, Honoré Champion, 2019 :

9 notices portant sur le rapport aux arts : 164 170 signes en tout :
[28] Notice « Académisme », p.6-10
[29] Notice « Critique d’art », p.246-254
[30] Notice « Cubisme », p.268-272
[31] Notice « Culture artistique », p.272-280
[32] Notice « Méditations esthétiques. Les peintres cubistes », p.645-652
[33] Notice « Orphisme », p.743-751
[34] Notice « Peinture futuriste », p.765-767
[35] Notice « Sculpture », p.1012-1019
[36] Notice « Tradition artistique », p.1095-1099.

8. Comptes-rendus

[1] Michel Murat, Julien Gracq, Paris, Belfond, 1991, 284 p ; pour L’Information littéraire.
[2] Daniel Briolet, La Tour de Feu. Revue internationaliste de création poétique (1946-1981), Tusson, Du Lérot, 1991 ; pour L’Information littéraire.
[3] Valery Larbaud, Lettres d’un retiré, Paris, La Table ronde, 1992 ; pour le Bulletin de l’AIRE, n°11, juin 1993, p. 17-21.
[4] Jean-Michel Maulpoix, Cahier du jour  ; pour La Sape n°43-44, 1996, p. 75-77.
[5] Esther Tellermann, Pangéia, Paris, Flammarion, 1996, 114 p., pour Le Nouveau Recueil, n°42, 1997, p. 166-169.
[6] Michel Collot, La Matière-émotion, Paris, PUF, 1997, pour L’Information littéraire.
[7] Colette Camelin et Joëlle Gardes-Tamine, La « rhétorique profonde » de Saint-John Perse, Paris, Champion, 2002, 241 p. ; et Saint-John Perse sans masque, lecture philologique de l’oeuvre, de Colette Camelin, Joëlle Gardes-Tamine, Catherine Mayaux et Renée Ventresque, Poitiers, La Licorne, 2002, pour Europe (17 600 signes)
[8] Esther Tellermann, Une odeur humaine, éd. Farrago / Léo Scheer, 2004, pour Le Nouveau Recueil http://www.maulpoix.net/Tellermann.html
[9] Bernard Vouilloux, Tableaux d’auteurs, Après l’Ut pictura poesis, Saint-Denis, PUV, « Essais et savoirs », 2004, pour L’Information littéraire, 2005/4 (vol. 57), p.62-63.
[10] Jean Paulhan et les poètes, textes réunis par Claude-Pierre Pérez, Aix-en-Provence, PUP (Presses Universitaires de Provence), 2004, pour L’Information littéraire, 2006/1 (vol.58), p.64
[11] Colette Camelin, Saint-John Perse. L’imagination créatrice, Hermann, 2007, 181 p., pour Europe, n°947, mars 2008, p. 365-369.
[12] Danièle Leclair, René Char. Là où brûle la poésie, biographie, Éditions Aden, 2007, pour Europe, n°959, mars 2009, p. 374-376.
[13] Lorand Gaspar, Derrière le dos de Dieu, Gallimard, 2010, pour Europe, n°976-977, août-sept. 2010, p. 339-341.
[14] Livane Pinet, La Part d’ombre, Paris, La Dame d’onze heures, 2009, pour Poezibao, dir. Florence Trocmé, mise en ligne le 23 nov. 2010
[15] Wilhelm Jensen, L’Ombrelle rouge, suivi de Essai de lecture freudienne par Jean Bellemin-Noël, Imago, 2011, pour Europe, parution 2012

9. Traductions en langues étrangères

[1] « Sobre « L’Heure présente » », traduction en portugais (Brésil) de Leïla de Aguiar Costa, numéro spécial Yves Bonnefoy, São Paulo, Lettres Françaises, n°15 (1), (Faculdade de Ciências e Letras, Universidade Estadual Paulista), 2014, p. 18-43 (26 p.)
[2] « Psyché aujourd’hui », traduction en arménien de l’essai accompagnant l’édition de L’Heure présente d’Yves Bonnefoy, par Chouchanik Thamrazian, Erevan, Éditions Naïri, 2015, p. 125-154 (30 p.)
À paraître :
[3] « Yves Bonnefoy et l’essai sur l’art », traduction en espagnol (Mexique) par Dulce Ma. Zúñiga,

 

10. Conférences

En France :

[1] « Pour les images, contre l’image même » (donnée dans le cadre de l’exposition Yves Bonnefoy. Assentiments et partages), Tours, Musée des Beaux-Arts, juin 2005
[2] Trois conférences sur Les Planches courbes d’Yves Bonnefoy en 2005 (mis au programme des classes terminales) : à l’IUFM de Paris (octobre), à l’UFM de Dijon (novembre), à l’Université de Poitiers (novembre également)
[3] « Le corps dans les dernières poésies de Lorand Gaspar » (donnée dans le cadre du « Printemps des poètes » de 2006, invitant à Tours Lorand Gaspar), Tours, BM, mars 2006
[4] « Poésie et psychanalyse » (donnée dans le cadre de la seconde « Carte blanche » offerte par la ville de Tours à Yves Bonnefoy), Tours, BM, 17 mai 2008
[5] « Yves Bonnefoy et les savoirs » (donnée à la Maison de l’Amérique Latine, Paris), 16 décembre 2008
[6] « Poétique d’Esther Tellermann » (donnée à l’Université Grenoble 2, en présence du poète), 2 octobre 2009
[7] « De la résistance en poésie : l’exemple de René Char », Séminaire du Groupe Marges : « L’individuel et le collectif, l’intime et le politique », Université Lyon 3, 14 mai 2012 (à l’invitation de Mireille Hilsum)
[8] « Une correspondance passionnelle : celle d’Aragon à Breton (1918-1931) », Séminaire Aragon de l’ITEM/CNRS, ENS Ulm, 26 janvier 2013
[9] « De la présence chez Yves Bonnefoy », Séminaire de l’équipe B1 du Forell sur « La présence », Poitiers, 14 février 2013
[10] « D’un salon l’autre : Baudelaire lecteur de Diderot », journée d’études « Le Salon au XVIIIe siècle comme naissance de l’essai de critique d’art », Poitiers, 13 février 2014
[11] « De l’allégorie dans Douve », Journée de la SELF XX-XXI, Paris 4-Sorbonne, 3 octobre 2015
[12] « Sur le « Vrai lieu » dans Douve », Université de Clermont-Ferrand, 16 décembre 2015
[13] « Yves Bonnefoy : de lieux en « lieu » », Séminaire « Géographie littéraire », Paris 3-Sorbonne nouvelle, 5 février 2016 ; conférence en ligne

À l’étranger :

[1] « Yves Bonnefoy : le rapport à la peinture italienne renaissante et baroque », Rome, Université La Sapienza, mai 2003 (à l’invitation du Professeur Giulio Ferroni)
[2] « Critique de l’Ailleurs selon Yves Bonnefoy », Université de Zurich (Suisse), le 21 mai 2008 (à l’invitation du Professeur Patrick Labarthe)
[3] « Métamorphoses de l’Ailleurs : de la Renaissance au XXe siècle », Université de Sarrebrück (Allemagne), le 13 décembre 2011 (à l’invitation de la Professeure Patricia Oster-Stierle)
[4] « André Breton devant Yves Bonnefoy », Université de Bergame (Italie), le 28 mars 2012 (à l’invitation du Professeur Fabio Scotto)
[5] « Amour et Psyché : l’actualisation d’Yves Bonnefoy », Université de Florence (Italie), dans le cadre du séminaire doctoral européen de Bonn/Paris/Florence « Mythes fondateurs de l’Europe dans l’art et la littérature » (à l’invitation de la Professeure Michela Landi)
[6] « Yves Bonnefoy et l’image surréaliste », Madrid, Universidad Computense (Espagne), le 23 avril 2012 (à l’invitation du Professeur Lourdès Carriedo)
[7] « De ‘l’image’ chez Yves Bonnefoy », Université de Salamanque (Espagne), le 25 avril 2012 (à l’invitation de la Professeure Amelia Gamoneda)
[8] « Yves Bonnefoy interprète de Baudelaire », Université de Salamanque, le 26 avril 2012
[9] « Yves Bonnefoy historien d’art : l’exemple de Goya », Madrid, Universidad Autonoma (Espagne), le 27 avril 2012 (à l’invitation de la Professeure Patricia Martinez)
[10] « Lorand Gaspar : poésie et médecine, le rapport à l’origine grecque », Philadelphie, University of Pennsylvania [Penn University] (États-Unis), le 24 octobre 2012 (à l’invitation du Professeur Philippe Met)
[11] « À la recherche de l’Amour fou : Lise Meyer, Blanche Derval et Léona D. dite ‘Nadja’ », Boston, Tuffts University (États-Unis), le 25 octobre 2012 (à l’invitation du Professeur Gérard Gasarian)
[12] « Baudelaire et l’’hystérie’ en son temps », Boston, Brandeis University (États-Unis), le 26 octobre 2012 (à l’invitation du Professeur Edward Kaplan)
[13] « Poésie et Inconscient : de Poe et Coleridge à Baudelaire et Mallarmé ou Rimbaud, nonobstant Valéry », Colgate University (États-Unis), le 30 octobre 2012 (à l’invitation du Professeur John Naughton)
[14] « Un cas exceptionnel dans le panorama français contemporain : Yves Bonnefoy et l’essai sur l’art », Oxford, All Souls College, le 29 novembre 2012 (à l’invitation du Professeur Michael Sheringham)
[15] « Le genre du Salon, de Diderot à Baudelaire », Université de Berne (Suisse), le 7 mars 2013 (à l’invitation de la Professeure Michèle Crogiez)
[16] « L’essai littéraire : l’exemple d’Yves Bonnefoy (sur Nerval, Baudelaire, Rimbaud et Mallarmé), Séoul (Corée du Sud), Université Nationale de Séoul, le 23 octobre 2013 (à l’invitation du Professeur Kwon-Hang CHOI)
[17] « De Freud à André Breton : le mythe Gradiva », Séoul, Université (de femmes) Ewha, le 24 octobre 2013 (à l’invitation de la Professeure Song)
[18] « La réflexion française sur la traduction : Antoine Berman et Yves Bonnefoy », Séoul, Université Koréa, le 25 octobre 2013 (à l’invitation du Professeur Youngrae JI)
[19] « Poésie et Inconscient », Tunis, Université des Lettres et Sciences Humaines, le 15 novembre 2013
[20] « L’Essai chez Breton : l’exemple de Nadja », Boston, Tuffts University (États-Unis), le 29 octobre 2014 (à l’invitation du Professeur Gérard Gasarian)
[21] « Le musée chez Yves Bonnefoy : « vrai lieu » ou « lieu » tout court ? », Università degli Studi de Florence (Italie), le 28 mai 2015, dans le cadre du séminaire doctoral européen de Florence/Bonn/Paris, « Mythes fondateurs de l’Europe dans les arts et la littérature » (à l’invitation de la Professeure Michela Landi)
[22] « Sur Le peintre dont l’ombre est le voyageur d’Yves Bonnefoy », Université Complutense de Madrid (Espagne), le 22 novembre 2019 (à l’invitation de la professeure Anne-Marie Reboul-Diaz)
[23] « Yves Bonnefoy et Boris de Schloezer ou de l’amitié», Médiathèque de Monaco (Principauté de Monaco), le 7 mars 2020

11. Émissions de radio

[1] France Culture, émission d’Alain Veinstein, « Ouvert la nuit » (24h-1h), sur mon essai Poétique du lieu chez Yves Bonnefoy ou Moïse sauvé (PUF), novembre 1999
[2] France Culture, émission d’Arnaud Laporte, « Tout arrive » (12h-12h45), avec Yves Bonnefoy, sur Débris de miroir d’Yves Bonnefoy, et Yves Bonnefoy penseur de l’image, ou les Travaux de Zeuxis (mon essai Gallimard), 3 octobre 2007
[3] France Culture, émission d’Alain Veinstein, « Du jour au lendemain » (22h15- 23h), sur mes deux essais Yves Bonnefoy penseur de l’image, ou les Travaux de Zeuxis (Gallimard) et Zeuxis auto-analyste, Inconscient et création chez Yves Bonnefoy (La Lettre volée), 27 novembre 2007
[4] France Culture, émission de Jacques Munier, « À plus d’un titre » (15h30-16h), sur mon essai René Char, une poétique du Retour (Hermann), 4 février 2008
[5] France Culture, émission de Jacques Munier, « À plus d’un titre » (15h30-16h), sur mon essai Philippe Jaccottet. À la lumière d’Ici (Hermann), 9 décembre 2008
[6] France Culture, émission d’Alain Veinstein, « Du jour au lendemain », sur mes deux essais L’Ailleurs en question (Hermann, mai 2009) et Pensées sur la « scène primitive ». Yves Bonnefoy lecteur de Jarry et Lely (Hermann, septembre 2009), 29 septembre 2009
[7] France Culture, émission « La Grande Table d’été », 4 juillet 2016, « Hommage à Yves Bonnefoy » (avec Odile Bombarde)

12. Entretiens publics

[1] Entretien avec François Lallier (poète) sur mes travaux (Yves Bonnefoy penseur de l’image ou les Travaux de Zeuxis, Gallimard, 2006 ; Zeuxis auto-analyste, Inconscient et création chez Yves Bonnefoy, Bruxelles, La Lettre volée, 2006 ; et mon colloque de Cerisy, Yves Bonnefoy. Poésie, recherche et savoirs, Hermann, 2007), Paris, Librairie Tschann, dimanche 25 mai 2008.
[2] Entretien avec Esther Tellermann à l’Arsenal/Bibliothèque Nationale de France, 6 février 2010
[3] Entretien avec Yves Bonnefoy, Séminaire Babylone (Psychanalyse, littérature et art), Paris, Institut mutualiste Montsouris, 7 janvier 2012
[4] Entretien avec Yves Bonnefoy et Olivier Abel, Fonds Ricœur, Faculté Protestante de Paris, 13 janvier 2014

 

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