
x* (1) (2)
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(3)
On voit alors que limmersion dans le second système (à droite) qui ne contenait aucun objet respectivement dans chaque dispositif archimédien en chacun des deux fléaux du levier de deux plus petits objet objets détectables de même volume Vd ne change pas léquilibre local du système (2) ni celle du système (1) où limmersion de x* objet indétectable laisse le sous-système (1) en équilibre mais rompt léquilibre du système global (3) que pour rétablir léquilibre il faut déplacer le point dappui (3) vers la droite jusquà lobtenir.
A léquilibre on en déduit une valeur détectable de Vx* qui était L-DA2-indétectable.
Nous avons encore réussi à rendre 2-L-DA2- détectable un objet qui était L-DA2-indétectable
Le procédé est récursif.
Cest à dire que lon va se trouver avec des indétectables du 3ème ordre rendus détectables dans un système à 3 étages 3-L-DA2 par duplication du schéma 2-L-DA2 et en mettant les deux sous-systèmes sur un même levier en équilibre sur son point en son milieu .
Nous navons toujours pas réussi à isoler la notion de plus petit volume deau possible puisque quà chaque limitation nous avons trouvé un procédé concret pour aller au delà.
Dire quil existe des objets physiques mesurables cest donc dire quil existe aussi des objets physiques mesurables indirectement. Autrement dit ce sont des objets physiques réels quon ne peut détecter que par laccumulation et la comparaison de mesures.
Réciproquement, est-ce quà tout ensemble de mesures il correspond un objet physique réel débouche sur la notion dobjet significatifs ou dobjets non significatifs pour ces objets indirects de la physique.
Les objets considérés comme réels de la physique sont donc des classes dobjets. Lobjet instancié, i.e. sous la mesure est donc équivalent à une population dautres objets supposés tous aussi représentatifs de la classe. Lobjet mesuré est donc un éléments quelconque de cette classe.
Avant de pouvoir mesurer les objets-phénomènes, il faut être capables de séparer indirectement un phénomène en sous-phénomènes et inversement être capable de voir indirectement plusieurs sous-phénomènes comme constituant un même phénomène.
La séparation est donc une opération abstraite conceptuelle susceptible dêtre opérationnalisée dans le terrain concret de la mesure par lorganisation dune expérimentation en tant quinstance représentative. Cette opération peut délivrer soit des objets physiques significatifs soit des objets physique non-significatifs.
Réciproquement la synthèse sous la forme dun même objet physique de mesures multiples issues de lexpérimentation est aussi une opération abstraite susceptible dêtre opérationnalisée pouvant de même délivrer un objet physique significatif ou un objet physique non-significatif.
Nous avons donc une double dimension du phénomène physique qui est posé comme un individu quelconque dune population potentiellement infinie dobjets strictement équivalents et qui est vue aussi dune manière plus globale comme une classe dont le comportement peut-être résumé par une loi particulière parmi lensemble des lois possibles susceptibles de caractériser des classes dobjets.
Il est cohérent, naturellement, que plus un objet acquiert de la précision dans sa mesure (i.e plus il est mesuré significativement par rapport à un (ou plusieurs) critère de mesure) et plus il est non-significatif par rapport aux complémentaires des critères de mesures où il apparaît significatif.
Dans la mesure où on admet que les critères de mesure partitionnent lespace de toutes les propriétés possibles quun objet peut avoir, on comprend aisément que si un objet vérifie une propriété donnée est logiquement équivalent à ce quil ne vérifie pas la (ou les ) contraposée de cette propriété.
Donc par définition même des caractéristiques sur un objet, un objet ne peut vérifier positivement toutes les caractéristiques à la fois en même temps mais apparaîtra avec son caractère significatif (sur lensemble des caractéristiques où il a des mesures significatives ) et son caractères non-significatif (sur lensemble complémentaires des caractères où il a des mesures significatives)
Autrement dit un objet physique aura une image correspondant aux caractères positifs considérés de lobjet et une ombre correspondant aux caractères complémentaires des caractères positifs de lobjets dans lespace des propriétés possibles .
Limage est plus moins précise et suit le degré de précision des caractères significatifs de lobjet.
Lombre correspond aux caractères complémentaires ou non-significatifs de lobjet physique .
Autrement dit ce qui est posé en physique est que lespace des problèmes de la physique est mesurable .
Autrement dit à tout problème physique il existe un objet physique (réel ou virtuel) solution .
Cest à dire pour tout problème, il ny a pas de problème.
Si une solution en physique est évidemment un objet physique donc mesurable, en revanche un problème physique a un statut plus ambigu dans la mesure où un problème en physique est limage inverse justement dune solution physique. Ontologiquement dailleurs la solution précède le problème car la solution est toujours mesurable et se hiérarchise naturellement du simple au complexe tandis que le problème est plus hypothétiquement mesurable puisquil requiert le concept de solution de solutions cest à dire de solutions physiques hiérarchiquement structurées. Autrement dit un problème physique suppose une catégorisation de lespace des solutions physiques doù donc un concept de solution physique globale peut émerger.
Or la solution est un concept physique ponctuel dans la mesure où est considéré comme objet physique tout objet qui soit justement mesurable cest à dire comparable à, mis en correspondance avec, un autre objet ou groupe dobjets eux-mêmes objets mesurables.
Cette notion de mesurabilité dobjet doit en outre contenir un principe de finitude, faute de quoi lobjet perd sa singularité dobjet justement et cest un effet de ponctualité qui vient évidemment du fait que la boucle déclatement de lobjet en sous objets doit sarrêter au bout dun temps physique fini (le temps de la mesure) sous peine de tomber dans la régression infinie. Le processus de singularisation de lobjet doit admettre une limite inférieure et donc la physique connaît la notion de plus petit objet mesurable.
Les problèmes surgissent bien entendu aux limites et le plus petit objet mesurable est en même temps lobjet le moins mesurable en ce quil ne peut se comparer quà lui-même.
Les objets physiques qui ne peuvent se comparer quà eux-mêmes constituent les objets limites de ce qui peut se considérer comme objets mesurables.
De même que les entiers premiers existent bel et bien en mathématiques et quils sont en nombre infinis, de même ces objets physiques qui ne sont comparables quà eux-mêmes existent bel et bien en physique et constituent la base ultime sur laquelle repose la mesurabilité. Nétant comparables quà eux-mêmes leurs mesures ne se décomposent pas en mesures dobjets comparables et apparaissent donc comme des objets stochastiques.
On peut tirer de là que pragmatiquement, sil sagit de mesurer des objets, lobjet le moins mesurable sera la limite de la mesurabilité des objets et partant, la norme réelle sur laquelle va se baser la fondation de la mesure.
En physique, de façon informelle les objets perçus directement seront mesurable directement en terme déloignement par rapport à un objet déclaré limite de la mesurabilité ( ce peut-être le plus petit ou le plus éloigné des objets perçus ) les objets non-perçus directement vont être mesurés indirectement mais exigent un motif de perception qui est une sorte dentité-objet du second ordre, un objet global de nature graphique. Alors que les objets perçus directement sont comparables uniquement dans des chaînes unidimensionnelles, ces objets seconds sont à la fois dans des chaînes quon peut dénommer horizontales traduisant la hiérarchie des objets en tant que singularités et dans des chaînes quon peut dénommer verticales traduisant la hiérarchie des objets en tant que constituants dobjets globaux. Ces objets issus de la mesure indirecte ont une nature double, une composante est dûe à leur aspect direct (en tant quils sont un élément particulier dune famille dobjets perçus) et une seconde composante dûe à leur aspect indirect ( en tant quils sont aussi dans un motif particulier dobjets physique). On peut considérer ces conglomérats dobjets physiques comme une image inverse de groupes constitués dobjets directement perçus.
Moyennant donc la notion de lexistence et de la significabilité de la plus petite solution on évite la redoutable régression à linfini implicitement contenu dans le principe atomiste, et on peut concevoir sans risque une nouvelle notion de solutions faites à partir dautres solution de sorte que à quelque niveau que ce soit on ait une mesure dobjet dun niveau donné compatible avec la mesure des objets de la chaîne des objets dans laquelle il se situe. Limage inverse dune solution de solutions est évidemment un problème, mais alors que par construction une solution de solutions est rigide donc de nature ponctuelle et finie et appartient irrémédiablement à un monde discret, limage inverse qui est le problème et qui correspond à la catégorisation des solutions en sous-ensembles de solutions est un élément quelconque de cet ensemble potentiel de solution de solutions possible et donc le problème associé à une solution physique nest quun élément pris dans un ensemble qui a lui la structure du continu. Un autre élément pris au hasard dans ce même ensemble continu est tout aussi représentatif. Alors quà une solution il correspond exactement une et seule mesure, à une solution de solutions possible cest-à-dire à un problème il correspond une classe de mesures possible et en puissance cette classe est infinie.
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